La marche n’est pas seulement un sport, elle est aussi une forme ancestrale de méditation, comme en témoignent les différents pèlerinages à pied. Au fur et à mesure, le corps et l’esprit se nettoient, le marcheur apprend à s’harmoniser avec la nature, à se libérer du mental pour laisser place à l’expérience de l’âme. Sarah Marquis a choisi de partir de la Sibérie vers l’Australie. Durant trois ans, elle va connaître le froid, la faim, la douleur, la solitude extrême, mais aussi un véritable cheminement intérieur…
Ce livre est le récit de cette expérience hors du commun. Nous découvrons avec elle la splendeur de la nature : des paysages somptueux, du lac Baïkal à la jungle luxuriante du Laos, une faune splendide avec les loups de Sibérie ou les léopards des neiges du désert de Gobi… Sarah Marquis nous décrit ses rencontres étonnantes avec des chevaux sauvages, des kangourous, mais aussi des trafiquants de drogue dans la jungle laotienne. Nous ressentons avec elle les rigueurs du climat, la peur... En même temps, nous comprenons que ces conditions de vie extrêmes n’ont pas détruit ce qui est essentiel à ses yeux : son lien à la Terre et au « Tout ».
Avec ce récit, Sarah Marquis nous fait partager sa philosophie du mouvement : « Écoutons nos corps respirer, faisons quelques pas conscients par jour, sourions, regardons les nuages l’espace de quelques minutes, saluons un passant, touchons l’écorce d’un arbre. Vous le voyez : rien de trop compliqué et coûteux. Le seul luxe que je vois est du « temps ».Découvrir ce livre sur drc.fr
http://www.drc.fr/modele/home.html
Ce livre est le récit de cette expérience hors du commun. Nous découvrons avec elle la splendeur de la nature : des paysages somptueux, du lac Baïkal à la jungle luxuriante du Laos, une faune splendide avec les loups de Sibérie ou les léopards des neiges du désert de Gobi… Sarah Marquis nous décrit ses rencontres étonnantes avec des chevaux sauvages, des kangourous, mais aussi des trafiquants de drogue dans la jungle laotienne. Nous ressentons avec elle les rigueurs du climat, la peur... En même temps, nous comprenons que ces conditions de vie extrêmes n’ont pas détruit ce qui est essentiel à ses yeux : son lien à la Terre et au « Tout ».
Avec ce récit, Sarah Marquis nous fait partager sa philosophie du mouvement : « Écoutons nos corps respirer, faisons quelques pas conscients par jour, sourions, regardons les nuages l’espace de quelques minutes, saluons un passant, touchons l’écorce d’un arbre. Vous le voyez : rien de trop compliqué et coûteux. Le seul luxe que je vois est du « temps ».Découvrir ce livre sur drc.fr
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