Ni Guru ni Maître… Ces quelques mots, souvent prononcés par Jean Dubuis, traduisent clairement la façon dont il conçoit sa mission : désocculter la connaissance et la transmettre dans un esprit de liberté, proposer des outils pour marcher dans le sens de son Devenir, rappelant que pour comprendre Le Grand Livre de la Nature, deux choses sont nécessaires : « une tête bien faite et un coeur généreux ». Il invite au « Ora et Labora » (« médite et travaille »). Ainsi, est toujours sienne la devise du Bouddha Gauthama : "Ne crois rien parce qu'on t'aura montré le témoignage écrit de quelque sage ancien. Ne crois rien sur l'autorité des Maîtres ou des Prêtres. Mais ce qui s'accordera avec ton expérience et après une étude approfondie satisfera ta raison et tendra vers ton bien cela tu pourras l'accepter comme vrai et y conformer ta vie".

dimanche 9 décembre 2012

Auroville, le lien d'or

Auroville, ville cosmopolite au Sud-Est de l’Inde, fut nommée « Cité de l’Aurore » il y a quatre décennies par Mère, la compagne spirituelle de Sri Aurobindo.
Auroville, « Cité de l’Unité Humaine », a reçu de Mère une Charte si ambitieuse et inspirée qu’elle a fait naître l’espérance d’une Babel réconciliée. Par des voies inattendues, une poignée d’aventuriers en quête de sens et de transcendance entendit l’Appel. Aujourd’hui, Auroville abrite 2200 habitants répartis en une centaine de communautés. Vivent-ils vraiment l’unité humaine tant voulue par Mère ? Est-ce tout simplement possible entre 45 nationalités aux cultures, modes de vie, systèmes de valeurs et de croyances à l’origine si différents ?
A l’heure où l’humanité se cherche un autre modèle, ces pionniers planétaires peuvent-ils être une source d’inspiration dans notre quête vers l’unité humaine ?

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lundi 29 octobre 2012

BAGLIS TV présente "Le Livre Rouge de Jung 2 : aspect psychanalytique et religieux"


nous avons le plaisir de vous informer de la mise en ligne de la table ronde 
"Le Livre Rouge de Jung 2 : aspect psychanalytique et religieux".

Je l' ai dans ma bibliothèque, un magnifique ouvrage très imposant.
Claude CCB

Le Livre Rouge 2: aspect psychanalytique et religieux

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"La rencontre avec l'inconscient constitue l'essentiel de la démarche jungienne!", nous dit Françoise Bonardel. Cette rencontre nous fut révêlée en 1961 dans son livre "Ma Vie". Néammoins, cinquante ans plus tard, en 2011, la publication du Livre Rouge de Carl Gustav Jung reste sans conteste l’un des évènements majeurs de ces dernières années pour ceux et celles qui s’intéressent à la psychologie des profondeurs ou à l'inconscient collectif.

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mardi 24 juillet 2012

Jung et Corbin. Monde de l'inconscient et monde imaginal

 

     
Par : Alexandre Ahmadi - Juillet 2012
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ahma_jung_corbinPour Henry Corbin * "La fonction du mundus imaginalis et des Formes imaginales se définit par leur situation médiane et médiatrice entre le monde intelligible et le monde sensible. D’une part, elle immatérialise les Formes sensibles, d’autre part, elle « imaginalise » les formes intelligibles auxquelles elle donne figure et dimension. Le monde imaginal symbolise d’une part avec les Formes sensibles, d’autre part avec les Formes intelligibles. C’est cette situation médiane qui d’emblée impose à la puissance imaginative une discipline impensable là où elle s’est dégradée en "fantaisie", ne secrétant que de l’imaginaire, de l’irréel, et capable de tous les dévergondages".

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Quels rapprochements pouvons-nous tisser avec les archétypes chers à Carl Gustav Jung et plus généralement avec l’inconscient collectif ?

L’ange est-il le Soi ? Jung et Corbin parlent-ils le même langage ?
Autant de questions éminemment complexes auxquelles Alexandre Ahmadi va tenter d'apporter des éléments de réponse dans cet exposé de 41 min. enregistré lors de la 7 ème journée Henry Corbin à Paris
Rappelons qu’Henry Corbin et Carl Gustav Jung se sont rencontrés dans le cadre du « Cercle d’Eranos » à Ascona en Suisse dans les années 50.

* Dans son ouvrage, Corps spirituel et Terre célestep
rélude à la deuxième édition (1978) dans "Pour une charte de l’Imaginal"


Toutes les vidéos de Alexandre Ahmadi

lundi 14 mai 2012



Voyage au coeur des fleurs de Bach


Un film de Jean-Yves Bilien et Ulrich Rampp

Durée 59 minutes

Pour commander le film
Pour voir un extrait du film



Au début du XXe siècle, le docteur Edward Bach, médecin
 homéopathe
 londonien, va mettre au point 38 remèdes floraux
concernant les propriétés
de guérison des essences florales, les fameuses Fleurs de Bach, 
qui seront l’œuvre de sa vie.
Ces fleurs rééquilibrent les émotions à l’origine de nombreux
 troubles
physiques et psychologiques, en nous reliant à notre propre
source interne.

Ce film nous emmène au cœur de l’histoire et de la vie de l’inventeur,
et nous partons à la découverte dans la nature de ces fleurs magiques.

Cette méthode de thérapie a depuis aidé des milliers de personnes
dans le monde.


Pour commander ce film




pour voir le Teaser BigBangBoumfilms



Pour commander la collection complète
des films de Jean-Yves Bilien









Sites de Jean-Yves Bilien :
www.filmsdocumentaires.com
(Commandes par internet)

lundi 7 mai 2012

BAGLIS TV présente : pratiquer l’Ayurvéda


Par : Kiran Vyas -  Mai 2012

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L’Ayurveda est une médecine indienne très ancienne dont l’étymologie provient de la juxtaposition du terme Véda (« connaissance intuitive », « vide » qui renvoie au « voir, percevoir » et dont le mot latin vidéo- videre est issu) avec le mot « Ayur » (« longue vie »)  nous dit Colette Poggi, sanskritiste.
A travers l’histoire de cette médecine millénariste, qui partant de l’Inde, a traversé l’Arabie, l’Europe de l’Est pour gagner l’Occident (passons sous silence l’interdiction d’exercice que la Couronne britannique lui imposa jusqu’en 1947) : les présupposés de cette médecine s’adressent-ils aux mêmes réalités scientifiques que notre médecine occidentale ?
Pour Kiran Vyas (Directeur des centres Tapovan), la réponse est affirmative tout en nuançant : "la médecine ayurvédique se propose de soigner  trois niveaux d’une même personne : premièrement, elle soigne le corps physique, en second lieu elle tente de prévenir les maladies et en troisième lieu elle vise le bonheur, l’épanouissement du patient".
Pour Falguni Vyas (médecin ayurvédique) de préciser : "la première chose à déterminer, c’est la Prakriti d’une personne. La Prakruti, c’est la proportion des cinq éléments que sont la Terre, l’Eau, le Feu/Lumière, l’Air et l’Ether. Ces cinq éléments varient pour chacun de nous en fonction de 1°) l’alimentation, 2°) l’âge, 3°) les saisons, 4°) son état d’esprit, 5°) son sommeil, 6°) sa relation avec soi-même, 7°) sa relation avec les autres".

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Sept variables subtiles, qui permettent au médecin de faire du sur-mesure pour chaque patient. Un souci de précision dont s’encombre peu notre pharmacopée occidentale qui cherche à appliquer pour tous les individus, sans aucune distinction, le même traitement… (diabolique mélange des notions d’unité et d’uniformité appliqué au genre humain… rentabilité oblige… et servant moins l’Homme que ses gros conglomérats financés sur le dos de la collectivité ! ndlr)
Ainsi, pour une personne à prédominance Vata, (air/esprit), ou Pitta (feu/bile), ou Kapha (terre/eau) : la recommandation portant sur l’alimentation, les mouvements, la méditation, ou les massages sera distinctes.
case_ayurveda3Sandrine Lemasson







Comme nous le rappelle Colette Poggi  "Le corps dans sa globalité est conçu comme un véhicule dont il faut sans cesse équilibrer les composante. Tout est en perpétuel mouvement, ainsi les termes de "Jagat" (le monde, ce qui est en mouvement), ou "Samsara" (tout ce qui s’écoule) nous rappelle que les corps, qu’ils soient physiques ou subtils sont sans cesse en train de se modifier, l’Ayurvéda vise ainsi à apporter  un équilibre dans tous ces mouvements. Tant sur un plan intérieur (le corps, la santé, le microcosme) que sur un plan extérieur (les rapports au monde, l’harmonie, l’équilibre psychique, le macrocosme)….
Un ensemble thérapeutique passionnant puisqu’il parvient à allier une interprétation littérale, pratique,  à une dimension symbolique, globale et métaphysique de tout-à-chacun… difficile numéro d’équilibriste auquel le monde occidental, discursif  et séparatiste est peu enclin…
Selon vous, cette science indienne rejoint-elle, en reprenant l’interrogation de Michel Cazenave, l’enseignement des écoles alchimiques qui fleurirent dans le haut moyen-âge, notamment à Salerne ?

Réponse de Kiran Vyas (centre Tapovan présents en Normandie et à Paris), Colette Poggi (sanskritiste), Sandrine Lemasson (médecin ayurvédique, spécialisée dans les nourrissons), Françoise Blanc (professeur de Hatha-Yoga) et Falguni Vyas (médecin ayurvédique) dans cette table ronde de 41 minutes, animée par Michel Cazenave et enregistrée au Forum 104.

mardi 24 avril 2012


Prêtre orthodoxe, docteur en psychologie, philosophie et théologie, l'auteur présente les différents modes de lecture et d'interprétation des icônes. Il propose des lectures d'icônes russes du XIVe au XIXe siècle pour illustrer les traditions de l'art de l'icône et la pratique visionnaire qui les a inspirées.

Quatrième de couverture

De même qu'il y a différentes façons de regarder le monde, il y a différentes façons de «lire» une icône et de l'interpréter. Les «lectures d'icônes» proposées ici ont pour but non seulement de nous faire mieux connaître les traditions dans lesquelles elles furent conçues, mais aussi de nous initier à la pratique visionnaire qui les a inspirées, de nous permettre d'intégrer, dans le tissu de notre existence, les éléments dont elles sont composées : les couleurs et les formes qui les structurent, la Présence discrète et forte dont elles sont l'évocation efficace...

L'icône est une école du regard, en cela elle s'oppose à l'idole.

L'idole arrête le regard qui ne peut aller au-delà de la représentation qu'elle propose. L'icône, par contre, n'enferme pas dans le visible, mais ouvre les yeux à l'invisible.

L'idole rend aveugle, l'icône rend voyant.

L'icône nous fait entrer dans un monde qui n'est ni celui de la matière, ni celui de l'Esprit, mais un composé sans mélange de ces deux dimensions du réel. Elle ne décrit pas une histoire (celle des différents moments de la vie du Christ et des saints), elle n'est pas un tableau à thème religieux, elle est une vision du monde transfiguré.

L'icône est un ange ! Plus qu'un message, elle est un messager.

Les icônes présentées ici le sont pour la première fois ; elles appartiennent à une collection privée. D'origine russe, elles ont été peintes entre le XIVe et le XIXe siècle. Pour assurer à ce livre son caractère d'ouvrage de référence, nous y avons ajouté quelques icônes plus connues, ainsi que des références à l'art occidental.

Fiche technique

  • Reliure : Broché
  • Page : 160 p
  • Format : 28 x 21 cm
  • Poids : 796.00 g
  • ISBN : 978-2-7465-0606-0
  • EAN13 : 9782746506060

Passe sans Porte, an 1229, 48 kôan anciens, Règle 7/48: TCHAO-TCHEOU :"LAVE TON BOL"


mardi 27 mars 2012

NEWS : un groupe de méditation chrétienne et un espace d'activités spirituelles sur Nancy.

S.V.P. pourriez vous diffuser dans vos réseaux les pages web réalisées. Cela pourrait peut-être intéresser certains de vos contacts. http://www.meditation-chretienne.org http://www.spiritualite-en-ville.formation-accompagnement.org/ En Christ, je vous embrasse + Claude